Les parents et éducateurs qui s’occupent des enfants souffrant d’allergies mortelles sur une base régulière doivent connaître quoi faire pour aider ces enfants à vivre avec leurs allergies de façon sécuitaire
Vous devriez savoir comment:
Il faur etablir une balance entre le risque d’exposition aux allegènes et avoir une vie normale. Les parents doivent enseigner à leurs enfants allergiques dès le plus jeune âge à prendre des responsabilités. Plus tôt l’enfant apprend à gérer son allergie, y compris comment utiliser un auto‑injecteur, plus ce sera facile à l’adolescence lorsque la pression des pairs et le besoin de se conformer placeront un stress additionnel sur leurs épaules.
Anaphylaxie Canada recommande que les enfants commencent à assumer la responsabilité d’avoir sur eux leur propre auto‑injecteur d’épinéphrine vers l’âge de 6 ou sept ans. Cela dépendra du niveau de développement et d’habilité de l’enfant, ainsi que de l’education des gene qui l’entoure. La supervision d’un adulte est requise lorsque l’enfant est jeune car les jeunes enfants auront peut être besoin d’un adulte pour administrer une auto-injecteur d’éphinéphrine ou en avoir une dans la salle de classe. Même si l’enfant est assez âgé pour s’auto‑administrer une dose, les adultes responsables ne devraient jamais présumer qu’un enfant le fera. Assurez-vous que votre enfant est près d’un adulte formé en tout temps.
Les systèmes scolaires doivent être conscients que l’anaphylaxie est une affection pouvant être mortelle et devraient avoir en place des politiques pour informer et enseigner aux éducateurs comment agir avec un enfant souffrant d’une allergie mortelle et comment avoir une classe sans allergènes. Bien que les arachides et les fruits à coque reçoivent la plus grande attention à l’école, les enfants peuvent aussi souffrir d’allergies mortelles à de nombreux autres aliments. Outre les arachides, les déclencheurs d’anaphylaxie les plus courants sont le lait, les œufs, les noix, les graines de sésame, le poisson, les mollusques et crustacées, et le soya. Les écoles ont la responsabilité de communiquer leur politique de protection envers les allergies à leur communauté étudiante.